Page:Toulet - Mon Amie Nane, 1922.djvu/258

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n’était pas moi qu’elle regrettait : mais ma vue lui rappelait peut-être quelques-uns des plaisirs de la liberté.

« Puisse la vôtre vous être légère à perdre ; et laissez-moi, une dernière fois, saluer vos lèvres, puisque désormais, ô Nane, vous ne serez plus que ma sœur. Hélas, et n’était-ce point assez des Suédois ?...

« N. »