Aller au contenu

Page:Tourgueniev - Eaux printanières, trad. Delines, 1894.djvu/213

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

elle tira fortement le cordon, le rompit et tendit la croix au jeune homme en disant :

— Puisque je suis à toi, ta religion sera la mienne.

Les yeux de Sanine étaient encore humides lorsqu’il rentra avec Gemma dans la chambre.

Le soir toute la famille avait repris son train habituel et même on joua une partie de tresette.