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Page:Tourgueniev - Eaux printanières, trad. Delines, 1894.djvu/260

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s’était renversée de nouveau dans le fauteuil, les deux mains jointes derrière sa tête.

Les larges manches de sa blouse s’étaient ouvertes jusqu’aux épaules — et il était impossible de ne pas reconnaître que cette pose et que toute la personne étaient d’une beauté ensorcelante…