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Page:Tourgueniev - Eaux printanières, trad. Delines, 1894.djvu/276

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— Au revoir !

Sanine salua et sortit du salon.

Un rire bruyant éclata derrière lui, et la glace devant laquelle il passa refléta la scène suivante : Maria Nicolaevna avait enfoncé le fez de son mari jusqu’au nez et Polosov agitait désespérément ses deux bras pour se dégager les yeux.