Aller au contenu

Page:Tourgueniev - Eaux printanières, trad. Delines, 1894.djvu/70

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

jours, ronflant même quelque peu, et les rayons du soleil qui glissaient entre les persiennes en bandes étroites, de plus en plus obliques, se promenaient sans cesse effleurant le plancher, les meubles, la robe de Gemma, les feuilles et les pétales des fleurs.