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Page:Turben - Les Songes du printems, 1750.djvu/11

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ix
PREFACE.

Ces mots, j’ai crû qu’on pouvoit les peindre, ainſi que quelques-unes de nos ſenſations, & que ce ſeroit une nouvelle ſource de deſcriptions & d’agrémens. Voilà mon objet auquel cependant je ne m’aſtreindrai pas au point de rejetter les autres choſes qui ſe préſenteront à moi. Une pareille conduite ameneroit néceſſairement avec elle l’uniformité, & auſſi néceſſairement le dégoût & l’ennui qui en ſont la ſuite.

Je ſens quelle étendue de génie & quel art même à employer ce génie ſeroient né-