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Page:Turben - Les Songes du printems, 1750.djvu/114

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Les Songes

vient de me donner.

Déja le ſentiment ranimoit mes deſirs, lorſque mon ſommeil fut tout-à-coup interrompu. L’odeur de la roſe m’avoit aſſoupi ; une de ſes épines me pique & je m’éveille. La fin du plaiſir eſt ſouvent la douleur.

Fin du premier des Songes
du Printems.