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Page:Turben - Les Songes du printems, 1750.djvu/13

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xi
PREFACE.

pour moi l’abus que l’on a fait de ſon abondance, qui faiſoit ſa pauvreté. Obligé de peindre ſouvent, non des membres mais des linéamens, ce n’étoit point des couleurs qu’il me falloit, ce n’étoit que leurs nuances : ſouvent le terme propre ſe préſentoit à moi, mais je ne pouvois plus l’employer à particulariſer un objet, vû l’emploi qu’on en avoit fait dans un ſens générique.

J’ai été quelquefois de même obligé de rejetter le terme propre, parce qu’il n’étoit pas aſſez galant ou aſſez