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Page:Turben - Les Songes du printems, 1750.djvu/30

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xxviii
PREFACE.

pris ſur eux de le répandre. J’abandonne mon eſprit à qui voudra l’attaquer, mais qu’il me ſoit permis de défendre ma vertu. Une pareille défenſe eſt d’abord de droit naturel, & la Société l’exige enſuite, en ce que nous méritons le mépris des autres, lorſque, pouvant nous conſerver leur eſtime, nous ne faiſons pas ce qu’il faut pour y réuſſir.

Ces hommes donc qui, parce qu’ils ne voyent aucun effet dont ils ne s’imaginent connoître la cauſe, penſent être Philoſophes, & ne