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Page:Varley - Une jeune fille à la page, 1938.djvu/106

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Et puis, une main, la main droite, lâche la taille ; je vois Ronnie, qui porte un doigt à sa bouche, qui le mouille de salive, il l’enfonce dans le trou du derrière de la femme de chambre et il fourrage dedans. Elle crie :

— Oh ! oui, comme ça !… Là ! là ! dans l’anus, c’est bon comme ça !… Branle-moi par là aussi !… N’aie pas peur, va vite !… Tu m’encules avec ton doigt !… Tu m’encules !…

Les deux croupes vont vite, si vite à la rencontre l’une de l’autre. Et j’entends tout à coup :

— Oh ! ta queue se gonfle !… je sens que tu vas décharger !… Oh ! fais attention, chéri, ne décharge pas dans moi, il n’y a rien pour se laver ici !… Retire-toi, je t’en prie, décharge-moi entre les fesses !… Ah ! je voudrais tant que tu me mouilles dedans, mais pas aujourd’hui ! Quand tu sentiras que cela vient, sors et décharge-moi entre les fesses !… Dis, tu me déchargeras là, ce sera bon tout de même, chéri, une autre fois tu me le feras dedans !…

Elle le supplie d’une voix rauque, il pousse encore quelques coups furieux et, tout à coup, son membre se retire, il le colle avec la main entre la rainure des fesses ; je vois un jet blanc qui part, qui jaillit jusqu’au milieu du dos de la femme.

— Là, là, tu me mouilles !… C’est bon quand tu me mouilles !…

Ils ne bougent plus, il est couché sur son dos.

Je redescends de ma chaise. Stasia me voit émue, toute à l’envers ; elle me dit, infiniment compréhensive :

— Si tu veux être seule, les lavabos sont là !