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plus aimable que belle, & possède les qualités qui attacheroient tout autre qu’un libertin.
D’Alfosse eut un fils, & dès ce moment, ne s’occupant plus d’assurer son nom à la postérité, il changea de conduite avec sa femme, qu’il laissa vivre à sa fantaisie, afin de jouir de la même liberté.
Naturellement sage, Madame d’Alfosse n’en abusa j’amais ; l’exemple de son mari, n’eut aucun pouvoir sur elle. Elle conserva, au milieu du grand monde, les principes d’une bonne éducation, & employa tous ses moments à l’éducation de son fils, auquel elle ne cessa de prodiguer les plus tendres soins.
L’intimité d’Alfosse, avec quelques jeunes gens fort libertins, l’entraîna bientôt en mauvaise compagnie ; la liberté d’y vivre sans contrainte