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Page:Verhaeren - Hélène de Sparte, 1912.djvu/82

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Et qu'ils tondent, à l'aube, et qu'ils sèchent les laines,
Et qu'ils parquent les boucs, avant le soir, là-bas.


MÉNÉLAS


Adieu !


(Il prend avec Électre le chemin qui
conduit vers la montagne)




Scène II


POLLUX ET CASTOR


POLLUX


Je te cherchais.


CASTOR


Je ne te cherchais guère.
Et ce n'est point vers toi que se portaient mes pas.


POLLUX


Je sais que mes conseils excitent ta colère
Et que tu hais, en moi, celui qui sert le roi.