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Page:Verhaeren - Poèmes, t3.djvu/129

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les apparus dans mes chemins


Je suis celui des pourritures infinies :
Vice ou vertu, vaillance ou peur, blasphème ou foi,
Dans mon pays de fiel et d’or, j’en suis la loi.
Et je t’apporte à toi le consolant flambeau,
L’offre à saisir de ma formidable ironie
Et mon rire, devant l’universel tombeau.