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Page:Vigny - Stello ou Les diables bleus, 1832.djvu/23

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CHAPITRE III


Stello reprit d’une voix basse :

« Il s’agit de me donner de graves conseils, ô le plus froid des docteurs ! Je vous consulte comme j’aurais consulté ma tête hier soir, quand je l’avais encore ; mais, puisqu’elle n’est