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Page:Vigny - Stello ou Les diables bleus, 1832.djvu/397

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CHAPITRE XXXVII


De l’ostracisme perpétuel


Les dernières paroles du Docteur Noir résonnaient encore dans la grande chambre de Stello, lorsque celui-ci s’écria, en levant les deux bras au-dessus de sa tête :

« Oui, cela dut se passer ainsi !