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Page:Vogüé - Cœurs russes, 1893.djvu/213

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La nuit était fort avancée quand ma britchka entra dans la cour de poste de Tachagne. Une calèche de voyage dételée y attendait les chevaux de rechange.

— Je vais réveiller Stépane Ivanovitch, me dit Ivan.

— Occupe-toi de faire atteler plus vite et laisse dormir ceux qui dorment, – lui répondis-je avec humeur.

On le pense bien, je n’avais qu’une idée : éviter