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Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome36.djvu/590

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1590. 
Le comte d’Argenson, ministre de la guerre. La Haye, 5 juillet. — « Dans ce fracas de dispositions. » 
 B.
1591. 
Frédéric II, roi de Prusse. La Haye, dans votre vaste et ruiné palais, 13 juillet. — « Mon roi, je n’ai pas l’honneur. » 
 B.
1592. 
Le comte d’Argenson. À la Haye, ce 15 juillet. — « Serait-ce vous faire mal ma cour. » 
 B.
1593. 
Le comte d’Argenson. La Haye, ce 18 juillet. — « Voici la seconde partie de l’état secret. » 
 B.
1594. 
Le comte d’Argenson. La Haye, 23 juillet. — « Le même homme qui vous est tendrement attaché. » 
 B.
1595. 
M. Amelot, ministre des affaires étrangères. La Haye, 2 août 1713. — « Je dépêchai, le 21 du mois passé. » 
 B.
1596. 
M. Amelot. Ce 3 août. — « Hier, après le départ de ma lettre. » 
 B.
1597. 
Le marquis d’Argenson. À la Haye, le 8 août. — « Soyez chancelier de France. ». 
 B.
1598. 
Le comte d’Argental. À la Haye. — « Il y a tant de gens, et de gens en place. » 
 B.
1599. 
Le duc de Richelieu. À la Haye, 8 août. — « J’ai reçu la lettre dont vous m’avez honoré. » 
 B.
1600. 
M. Amelot. La Haye, 16 août. — « J’ai reçu les ordres et les sages instructions. » 
 B.
1601. 
Thieriot. À la Haye, ce 16 août. — « Je mène ici une vie délicieuse. » 
 B.
1602. 
M. Amelot. À la Haye, ce 17 août. — « Heureusement le courrier n’est pas encore parti. » 
 B.
1603. 
De Frédéric. 20 août. — « Je ne suis arrivé ici que depuis deux jours. » 
 Pr.
1604. 
Le comte d’Argental. Sur l’eau, près d’Utrecht, ce 23 août. — « La Haye en Touraine est donc une ville. » 
 B.
1605. 
De Frédéric. 24 août. — « Ce sera donc à Berlin. » 
 Pr.
1606. 
L’abbé de Valori. Berlin, le 31 août. — « Je viens de me vanter à monsieur votre frère. » 
 B.
1607. 
M. Amelot, ministre des affaires étrangères. À Charlottenbourg, ce 3 septembre 1743. — « Aujourd’hui, après un dîner plein de gaieté. » 
 B.
1608. 
Le marquis de Valori. Du 7 septembre, ce mardi au soir. — « Je me prive. » 
 B.
1609. 
De Frédéric. 7 septembre. « Vous me dites tant de bien de la France. » 
 Pr.
1610. 
Frédéric II, roi de Prusse. Septembre 1743. — « Votre Majesté aurait-elle assez de bonté. ? » 
 B. et Pn.
1611. 
De Frédéric. 8 septembre. « Je n’ose parler à un fils d’Apollon. » 
 Pr.
1612. 
M. Amelot. À Baireuth, ce 13 septembre. — « Le roi m’a dit que, par les mémoires. » 
 B. et F.
1613. 
M. Amelot. Ce 3 octobre 1743. — « En revenant de la Franconie. » 
 B.
1614. 
Le comte de Podewils. Le 3 octobre. — « Lorsque d’un feu charmant. » 
 B.