Aller au contenu

Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome36.djvu/591

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
1615. 
M. Amelot. Le 5 octobre. — « Ce que vous mande M. de Valori. » 
 B.
1616. 
De Frédéric. 7 octobre. — «  La France a passé jusqu’à présent. » 
 Pr.
1617. 
M. Amelot. À Berlin, le 8 octobre. — « Dans le dernier entretien particulier. » 
 B.
1618. 
Thieriot. À Berlin, le 8 octobre. — « J’ai reçu vos deux lettres. » 
 B.
1619. 
Frédéric II, roi de Prusse. 1743. — « C’est vous qui savez captiver. » 
 B.
1620. 
Le baron de Keyserlingk. Dans un f… village près de Brunswick, ce 14 octobre au matin. — « Que je me console un peu avec vous. » 
 B.
1621. 
Maupertuis. À Brunswick, 16 octobre. — « J’ai reçu dans mes courses. » 
 B.
1622. 
M. Uriot. À Brunswick, ce 16 octobre. — « J’ai été bien mortifié. » 
 B.
1623. 
De la princesse Ulrique. Octobre 1743. — « C’est pour vous faire part, monsieur. » 
 B.
1624. 
M. Amelot. Le 27 octobre. — « En arrivant à la Haye, je commence. » 
 B.
1625. 
De Frédéric. Octobre 1743. — « J’ai bien cru que vous seriez content. » 
 Pr.
1626. 
Frédéric II, roi de Prusse. La Haye, 28 octobre. — « Vous voyagez toujours comme un aigle. » 
 B.
1627. 
De la princesse Ulrique. 29 octobre. — « C’est avec un vrai plaisir. » 
 B.
1628. 
Mme de Champbonin. — « Mon corps a voyagé. » 
 B.
1629. 
Frédéric II, roi de Prusse. À Lille, 16 novembre 1743. — « Est-il vrai que, dans votre cour. » 
 B.
1630. 
L’abbé de Valori. Paris, ce 28 novembre. — « Pourquoi à Étampes, monsieur ? » 
 B.
1631. 
De Frédéric. 4 décembre 1743. — « La peau de ce guerrier fameux. » 
 Pr.
1632. 
La princesse Ulrique de Prusse. À Paris, ce 22 décembre. — « Ce n’est donc pas assez d’avoir perdu. » 
 Adv.

1744

1633. 
M. de La Martinière. Ce 3 janvier 1744. — « J’ai attendu le temps des étrennes. » 
 B.
1634. 
Frédéric II, roi de Prusse. À Paris, 7 janvier. « Je reçois à la fois de quoi faire tourner. » 
 B.
1635. 
La reine de Prusse (mère de Frédéric). À Paris, 7 janvier. « J’écris en vers au roi. » 
 Adv.
1636. 
Le comte d’Argental. Bruxelles, le 2 février 1744. — « Il me prend envie de mander des nouvelles. » 
 B.
1637. 
Vauvenargues. Le dimanche 11 février. — « Tout ce que vous aimerez. » 
 B.
1638. 
L’abbé de Valori. Paris, 15 février. — « Il n’y a qu’une violente maladie. » 
 B.
1639. 
M. Pallu, intendant à Lyon. Le 20 février. — « Béni soit l’Ancien Testament. » 
 B.