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Page:Weil - La Connaissance surnaturelle, 1950.djvu/131

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Une noisette à ne pas ouvrir « till her heart is like to break, and over again like to break ».

Far hae I sought ye, near am I brought to ye.

Dear Duke o’ Norroway, will ye no turn and speak to me ?

Firdausi — pr. de E. M. Wilssot Buxton The Book of Rustem

« Come, sit beside me on this sand, and take
My head betwixt thy hands, and kiss my cheeks,
And wash them with thy tears, and say : My son !
Quick ! quick ! for numbered are my sands of life,
And swift ; for like the lightning to the field
I came, and like the wind I go away. »

The little Feather of Fenist — The bright falcon de R. Nisbet Bain’s Russian Fairy Tales

(La belle et la bête) La plus jeune des 3 filles demande « a scarlet flower » — Un vieux la lui donne à condition qu’il accepte de donner sa fille à « Fenist the bright falcon ». Il accepte, puis regrette.

Le faucon lui donne une fleur par laquelle elle peut l’appeler. Il lui donne tout ce qu’elle veut.

Les sœurs blessent le faucon. Il part en disant : Seek me in the land of Thrice-nine »… « Il te faut « wear out slippers of iron, fret away reins of stone, break to pieces staff of steel, before thou findst me ».

Elle reçoit des dons en route.

Elle trouve Fenist fiancé à une Tsarevna.

Elle lui dit « I, thy lovely damsel, have come to thee from afar. I have worn out slippers of iron, I have ground down a staff of steel, I have fretted away reins of stone. Everywhere and all times have I been seeking thee, my love ».

La deuxième nuit, bien qu’il ait pris sa potion, les larmes brûlantes de la jeune fille tombant sur son visage l’éveillent.

Il demande à son peuple quelle femme il doit prendre pour épouse. Her who sold me, or her who bought me back again ? » On lui dit the second.

Dans sa course errante, la jeune fille a rencontré une