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Triolet (« Ô Dieu ! le bon temps que c’étoit »)

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TRIOLET
Sur ce que durant un certain temps de la
guerre civile de la Fronde les femmes n’étoient
pas, à Paris, de trop difficile composition.

Ô Dieu ! le bon temps que c’étoit
À Paris durant la famine !
Filles et femmes l’on baisoit.
Ô Dieu ! le bon temps que c’étoit !
La plus belle se contentoit
D’un demi-boisseau de farine.
Ô Dieu ! le bon temps que c’étoit
À Paris durant la famine !