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Une bolera andalouse et sa mère. — Dessin de Gustave Doré.


VOYAGE EN ESPAGNE,


PAR MM. GUSTAVE DORÉ ET CH. DAVILLIER[1].


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SÉVILLE.


1862. — DESSINS INÉDITS DE GUSTAVE DORÉ. — TEXTE INÉDIT DE M. CH. DAVILLIER.


Les academias de baile, ou écoles de danse. — Une affiche séduisante : le Salon del recreo. — Les bailes de palillos. — L’arrivée des boleras. — Une duègne accomplie. — Les boleras robadas. — Les rafraîchissements. — La Campanera danse le Jaleo de Jerez. — Doré s’improvise violoniste. — L’Anglais, le mouchoir et le durillo. — Les cantadores. — El peinero. — Les coplas de baile.

Il n’est guère d’étrangers qui séjournent quelque temps dans la capitale de l’Andalousie, sans avoir le désir de connaître ces fameuses danses tant vantées. Au théâtre, il est rare que la soirée ne se termine pas par

  1. Suite. Voy. t. VI, p. 289, 305, 321, 337 ; t. VIII, p. 353 ; t. X, p. 1, 17, 353, 369, 385 ; t. XII, p. 353, 369, 385, 405, 417 ; t. XIV, p. 353, 359 et 385.