Page:Améro - Le Tour de France d’un petit Parisien.djvu/457

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
449
LE TOUR DE FRANCE D’UN PETIT PARISIEN


Ce fut entre eux une reconnaissance bien cordiale (page 449).
ciennement Ancre, et qui fut la seigneurie du célèbre Concini, maréchal d’Ancre, avant de passer aux mains d’Albert de Luynes.

Jean se trouvait à Ham, et se demandait par quelle voie il se rendrait à Saint-Quentin, lorsqu’il vit sortir de la gare son excellent ami Modeste Vidal. Ce fut entre eux une reconnaissance bien cordiale. Après le premier moment de surprise et l’étonnement du musicien devant la transformation du jeune