Page:Guimet - Promenades japonaises, 1880.djvu/180

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insoluble, car elles y mettent beaucoup de temps et n’arrivent à aucun résultat appréciable.



L’une joue du sa-missen, la longue et mince guitare, ornée de peau de serpent, dont les sons rudes et courts n’ont rien de musical. Une joueuse de sa-missen qui se respecte joue toujours faux ; si elle chante, elle chante d’accord avec l’instrument, c’est-à-dire faux, ou du moins dans une tonalité que nous ne pouvons saisir et dont je trouve les intervalles toujours trop petits. Seraient-ce là les fameux quarts de ton de la