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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

437. — Apprend par Picquart la condamnation de Dreyfus, 450. — Ordonne la rentrée immédiate des pièces secrètes au Ministère, 450. — Invite Sandherr à disloquer le dossier, 450-451 ; appendice, 615-617. — Prétend n’avoir pas su si le dossier avait été communiqué aux juges, 451. — Félicité par la presse après la condamnation, 467-471. — Dépose à la Chambre un projet de loi sur la trahison et l’espionnage ; discours de Jaurès et de Millerand ; vote de l’urgence (séance du 24 décembre 1984), 475-478. — Envoie Du Paty trouver Dreyfus dans sa cellule pour en obtenir des aveux, 480. — Reçoit de Du Paty une lettre et un compte rendu de cette visite ; disparition du compte rendu, 485. — Texte de la lettre que lui adresse Dreyfus après la visite de Du Paty, 486. — Propose au conseil des ministres d’envoyer Dreyfus à l’île du Diable, 486-487. — Mesures prises par lui en vue de la dégradation, 493. — Désigne Picquart pour assister à la parade, 518. — Ne reçoit pas Picquart qui lui est amené par Boisdeffre pour faire le récit des aveux attribués à Dreyfus ; son entretien avec Boisdeffre. 519, 526. — Fait rechercher l’officier qui aurait reçu les aveux, 527. — Reçoit Lebrun-Renaud, qui lui raconte sa conversation avec Dreyfus ; il n’est pas question des aveux, 531. — Ordonne à Lebrun-Renaud de garder le silence sur la visite de Du Paty et l’origine du bordereau, 532. — Envoie Lebrun-Renaud à Casimir-Perier, 533. — Se rend à l’Élysée, ne parle des aveux ni à Casimir-Perier ni à Dupuy ; note rédigée pour l’agence Havas, 536. — La prétendue nuit tragique, 545-540. — Ordonne de laisser tomber dans l’oubli la légende des aveux, 548. — Laisse distribuer un placard recommandant sa candidature à la Présidence de la République, 559-560. — Remplacé par Zurlinden au ministère de la Guerre, 561. — Articles de la presse antisémite sur son départ, 561. — Son opinion sur Esterhazy, II, 77, note 2. — Séance du 27 novembre 1895 à la Chambre : les responsabilités de l’expédition de Madagascar, 193, notes 1 et 2. — Ses rapports avec Boisdeffre, 201 ; avec d’Orval, 225 et note 2. — Affirme à Pellieux la culpabilité de Dreyfus, III, 133. — Se fait remettre la « notice biographique » rédigée en 1894 par Du Paty et la détruit, 193. — Lettre ouverte que lui adresse Andrade, 275. — Constitution du dossier des aveux, 284. — La fausse lettre de Gonse, 288-289. — Cité par Zola comme témoin, 302. — Met Dupuy au courant de la communication secrète, 313. — Autorisé par Billot à ne pas comparaître au procès Zola, 344. — Sa déposition ; il refuse de s’expliquer sur la communication secrète, mais affirme que Dreyfus a été « justement et légalement condamné », 356-357. — Aurait eu une photographie du bordereau annoté, 589. — Cavaignac le consulte avant d’accepter le portefeuille de la guerre, IV, 3. — Apprend à Évian les aveux et l’arrestation d’Henry, 201-205. — Aurait incité Cavaignac à s’opposer à la revision, 232. — Propos de Chanoine et du général Brunet à son égard, 293, note 3. — Ses efforts pour empêcher la revision, 299. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894) : le bordereau, les visites de Du Paty à Dreyfus, 364 ; la communication secrète, 365. — Passe pour porter toujours sur lui la photographie du bordereau annoté, 366 et note 3 ; VI, 147, 206, 208. — Déclare que la Cour de cassation est vendue au Syndicat, IV, 373. — Affiche de Déroulède : « Si Dreyfus revient de