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INDEX GÉNÉRAL


l’île du Diable, il faut que Mercier aille prendre sa place », 416. — Souscrit aux listes rouges, 440. — Soury lui dédie son volume : la Campagne nationaliste, 446, note 1. — Déclare que les lettres d’Esterhazy saisies chez Callé sont fausses, 450 et note 4. — Atteint par la limite d’âge ; résigne son commandement, 460. — Son discours au dîner d’adieu que lui offrent ses officiers : le « byzantinisme intellectuel », 460 et note 1. — Sa seconde déposition devant la Chambre criminelle ; la dépêche du 2 novembre, III, appendice, 649, IV, 519. — Questionné par Freycinet sur la disparition du commentaire de Du Paty ; ses explications, V, 62 et note 2. — Averti par Dupuy qu’il va être l’objet d’une demande de poursuites, 120. — La lettre de Lebret à la Chambre ; discours de Ribot et de Pourquery de Boisserin ; motion de mise en accusation déposée par Viviani ; vote de l’ajournement des poursuites, 131-133 ; appendice, 576-577. — Son discours à la Ligue de la Patrie française : il annonce qu’il dira tout devant le Conseil de guerre de Rennes, 179, 180 et note 1. — Fait rappeler à Galliffet son attitude bienveillante lors de l’interpellation Grousset en 1894, 214. — Propage la légende du bordereau annoté et fait annoncer qu’il en produira la photographie à Rennes, 215-221. — Reçoit de Du Paty une note sur le décalque de la dépêche du 2 novembre, 240. — Ses démarches pour empêcher Cuneo d’Ornano de publier l’histoire du bordereau annoté, 260, note 4. — Descend à Rennes chez le général de Saint-Germain, 265-266. — Adopte le système de Bertillon sur l’écriture artificielle de Dreyfus, 274-275. — Remet à Chamoin la note de Du Paty, 297 et note 4. — La lui réclame par deux fois, 300 et note 5. — Sommé par la presse antisémite de révéler l’existence du bordereau annoté, 303-306. — Sa déposition au procès de Rennes ; le témoignage de Mertian de Muller, l’espionnage allemand, la « nuit tragique », 320-325 : I, appendice, 631-632. — Les pièces secrètes et les notes du bordereau, le « Syndicat », le système de Bertillon, V, 326-335. — Scène dramatique entre Dreyfus et lui, 335-336. — Incident Bourdon, 336 et note 5. — Impression produite par sa déposition, 337-342. — S’inscrit chez Labori après l’attentat et retire sa plainte contre Bourdon, 358 et note 1. — Sa seconde déposition : le bordereau annoté, 369-372. — Confronté avec Casimir-Perier ; démentis que celui-ci lui inflige, 372-374. — Questionné par Demange au sujet de la prétendue « nuit tragique », 374-375 ; au sujet de la dépêche du 2 novembre et du commentaire, 376-377. — Questionné par Labori : sa tactique, 399-401. — Confronté avec Freystætter, 401-403 et note 1. — Réflexion d’un secrétaire de l’ambassade d’Allemagne sur sa déposition, 419, note 3. — Prétend qu’Esterhazy a modifié son écriture pour la rendre semblable à celle du bordereau, 434, notes 2 et 3. — Article du Nouvelliste de Bordeaux sur le bordereau annoté, 440 et note 1. — Lettre ouverte, dans le Gaulois, l’invitant à compléter sa déposition, appendice, 578-579. — Reçoit une lettre d’Esterhazy ; ne la communique pas à Jouaust, 450. — Laisse sans réponse une lettre de Cernuski, 475. — Démarche de Cernuski auprès de lui, 479. — Jugements portés sur lui par Soury, Maurras et Barrère, 495, note 2. — Article de Drumont : les Deux bordereaux, 502. — Ses démarches auprès des juges de 1894 ; ses déclarations à l’encontre de la déposition de Freystætter (audience du 7 sep-