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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

pelle Méline et Billot (séance du 7 décembre 1897), 148-152 ; réplique de Billot, 152. — Discours de Trarieux ; intervention de Méline : « Il n’y a pas d’affaire Dreyfus », 153 ; vote de l’ordre du jour de confiance, 154. — Tornielli lui déclare que les pièces secrètes où Panizzardi est mis en cause sont des faux, 161. — Sa lettre à Duclaux au sujet de l’Affaire ; réponse de Duclaux, 169. — Attitude de Ravary à son égard, 174. — Son opinion sur le rapport des experts au sujet au bordereau, 193 et note 3. — Sa lettre ouverte dans le Temps : « l’inévitable réparation », 194-195. — Cité comme témoin au procès Esterhazy : sa déposition, sa première rencontre avec Picquart, 204, 208-209. — Se représente à la vice-présidence du Sénat ; n’est pas réélu, 239 et note 2. — Son opinion sur la lettre J’accuse, 240. — Cité par Zola comme témoin, 302. — Présente Picquart à Mme Dreyfus, 341. — Sa déposition au procès Zola, 346-347. — Accusation portée contre lui par Teyssonnières, 414. — Demande à interpeller sur la communication secrète au procès de 1894 ; le Sénat ajourne l’interpellation, 41. — Prend part à la fondation de la Ligue des Droits de l’Homme, 547-548. — Sa maladie, 625. — Affirme que le discours de Cavaignac (séance du 7 juillet 1898) n’a pas changé sa conviction, IV, 31. — Apprend par les journaux le départ de Zola pour l’Angleterre, 57, note 1. — Sa déposition à l’instruction Fabre, 107. — Figure parmi les revisionnistes que Cavaignac projette de déférer à la Haute-Cour. 125. — Son séjour à Rheindfelden, 136-137. — Dépose devant le juge d’instruction de Belfort saisi par Tavernier d’une commission rogatoire, V, 51. — Sa joie à la nouvelle de l’arrêt de la Cour de cassation déclarant recevable la demande en revision, IV, 348, note 2. — Croit à la complicité d’Henry et d’Esterhazy ; sa lettre à Joseph Reinach, 432, note 2. — Vote l’amendement Bernard à la loi de dessaisissement, V, 22, note 3. — Sa maladie ; courageuse résignation dont il fait preuve, 51. — Sa lettre à Joseph Reinach (3 janvier 1899) : il se prononce contre la politique des représailles, 52. — Adresse à Jouaust une lettre où il résume ses dépositions aux procès d’Esterhazy et de Zola, 498, note 1. — Apprend la condamnation de Dreyfus : prévoit la grâce, 540. — Sa mort, 566. — Manifestation à laquelle ses obsèques donnent lieu, VI, 2. — Sa correspondance avec Leblois est publiée par celui-ci, 180, 200. — Le Sénat décide que son buste sera placé, avec celui de Trarieux, dans la galerie qui précède la salle des Séances, 478.

Schlieffen (Von), général, chef de l’État-Major allemand. S’occupe du contre-espionnage, I, 23. — Sa correspondance avec Schwarzkoppen au sujet d’Esterhazy, II, 78, 88, 90. — Adresse à Schwarzkoppen un questionnaire sur le 120 court, 114-115. — Documents qu’il en reçoit pendant et après le procès de 1894, 224-225. — S’oppose à ce que Schwarzkoppen déclare publiquement n’avoir jamais connu Dreyfus, III, 43.

Schlumberger (Théodore). Lettre qu’il reçoit du prince de Hohenlohe au sujet des prétendus rapports de Dreyfus avec le gouvernement allemand ; communique cette lettre à Scheurer-Kestner, II, 610 et note 2.

Schmettau (Comte von), attaché militaire d’Allemagne à Bruxelles. Ses prétendus rapports avec Dreyfus, son démenti, I, 340 ; II, 118. — Une photo-