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HISTOIRE DE L’AFFAIRE DREYFUS

lettre d’Adolphe Carnot à propos de l’« Appel à l’union », IV, 537 ; — 2° dans une dépêche de Paul Carnot à Labori, V, 365, note 2.

Carnot (François), fils du Président. Proteste contre l’usage du nom de son père : 1e dans une lettre d’Adolphe Carnot au sujet de l’« Appel à l’union », IV, 537 ; — 2° dans une dépêche de Paul Carnot à Labori, V, 365, note 2.

Carnot, capitaine, fils du Président. Désapprouve son oncle Adolphe Carnot, signataire de l’« Appel à l’union », d’avoir mêlé le nom de son père à l’Affaire, IV, 537.

Carnot (Paul), fils d’Adolphe Carnot. Sa dépêche à Labori après l’attentat de Rennes, V, 365, note 2.

Caron. Aurait entendu des officiers parler des prétendus aveux de Dreyfus, I, 518, note 3.

Carrière, commandant. Commissaire du gouvernement au Conseil de guerre de Rennes. Ses déclarations à la presse avant le procès, V, 180 et note 2. — Lettre qu’il reçoit de Quesnay de Beaurepaire, 223. — Instructions qui lui sont données par Galliffet, 229-231. — Conseillé par Auffray ; dresse la liste des témoins à charge, 234-235. — Reçoit une lettre d’Esterhazy, 270-276. — Son attitude au cours des débats, 284, 290, 397, 473. — Jugement de Galliffet sur lui, 418, VI, 317. — Reçoit la visite de Cernuski, V, 479. — Réclame le huis-clos pour l’audition de Cernuski, 480. — Invité par Galliffet à limiter le huis-clos à la désignation des informateurs étrangers de Cernuski, 484 ; ne tient pas compte de cet avis, 486. — Proteste contre l’hypothèse du bordereau par ordre, 407. — Demande à Trarieux de se procurer les documents énumérés au bordereau, 500. — Son réquisitoire, 515 ; note que lui fait passer Auffray, 526. — Sa réplique à Demange : il demande les circonstances atténuantes, 530-531.

Carrière (Eugène), peintre. Signe la pétition en faveur de la revision, III, 245.

Carvalho, expert judiciaire à New-York. Compare l’écriture du bordereau à celle de Dreyfus, II, 501.

Casella (Henri), journaliste italien. Confidences que lui font Schwarzkoppen et Panizzardi au sujet de l’Affaire, I, 50, notes 1 et 2 ; 243, note 1 ; II, 599, note 3. — Essaie vainement de faire intercepter par Mathieu Dreyfus une lettre de Schwarzkoppen à Panizzardi, III, 199 ; récit qu’il fait de cet incident dans le Coriere di Napoli, 200, note 2. — Demande à être cité au procès Esterhazy : les avocats de Dreyfus et de Picquart s’y opposent, 200, note 2. — Cité par Zola comme témoin à son procès, 303 ; la défense renonce à son audition, 461 ; la déposition qu’il aurait faite est publiée dans le Siècle, 559. — Son entrevue à Bruxelles avec un émissaire de Schwarzkoppen, IV, 18-19.

Caseria. Surnom donné à la femme qui se trouvait chez Félix Faure au moment de sa mort, IV, 553.

Casimir-Perier. Chargé de constituer un cabinet ; appelle Mercier au ministère de la Guerre (décembre 1893), I, 1. — Élu Président de la République, 14. — Laissé par les ministres dans l’ignorance des affaires, 15-17. — Mercier lui montre la lettre de Schwarzkoppen à Süsskind, 31. —