Page:Joseph Reinach - Histoire de l’Affaire Dreyfus, Eugène Fasquelle, 1911, Tome 7.djvu/51

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
43
INDEX GÉNÉRAL
 Les corrections sont expliquées en page de discussion

Apprend la découverte du bordereau, 78. — l’arrestation de Dreyfus est résolue à son insu, 104. — Violentes attaques dont il est l’objet, 134-136. — N’assiste pas au Conseil qui décide l’ouverture d’une instruction judiciaire contre Dreyfus, 209. — N’est pas informé des déclarations de Munster à Hanotaux, 256, 345, 525. — Mercier lui montre la pièce « Canaille de D… » mais lui laisse ignorer l’usage qu’il fera des pièces secrètes, 279, 281. — Son opinion sur le système de Bertillon, 311. — Mis en cause par Rochefort à Propos des prétendues lettres de Dreyfus à Guillaume II, 349. — Sollicité par Waldeck-Rousseau et Joseph Reinach de s’opposer au huis-clos, 367-368, IV, 295. — Tenu par Picquart au courant du procès de 1894, I, 412. — Son entretien avec Bertin-Mourot, 437-438, 447. — Reçoit la dépêche de Hohenlohe et la demande d’audience de Munster, 525-526. — Reçoit Lebrun-Renaud à l’Élysée et le blâme de ses indiscrétions, 532-536. — Son entrevue avec Munster, 538-542, VI, appendice, 507-511, 517-520 ; communiqué de l’Agence Havas à la suite de cette entrevue, I, 543. — La prétendue « nuit tragique », 545-546, appendice, 632. — Apprend que Dreyfus aurait fait des aveux, 548. — Donne sa démission, 553 ; raisons qui l’y ont décidé, 554-558. — Accusé par Rochefort d’avoir juré à Munster de ne jamais révéler l’existence des pièces secrètes, 165. — N’a reçu de Lebrun-Renaud aucune déclaration touchant les prétendus aveux de Dreyfus, III, 237, note 2, 284, IV, 452. — Cité comme témoin par Zola, III, 302. — Sa lettre à Delegorgue, 347. — Sa déclaration au procès Zola, 348. — Déroulède lui avait proposé de faire un coup d’État, IV, 351. — Sa déposition devant la Chambre criminelle (revision du procès de 1894), I, 597-598, IV, 453-454. — Refuse le portefeuille de la Guerre et la présidence du Conseil que lui offre Poincaré, V, 157-158 ; oppose le même refus à Waldeck-Rousseau et à Loubet, 167. — Proteste contre les allégations de Carrière à son sujet, 180, note 2. — Sa déposition au procès de Rennes, 314-316 ; incident soulevé par lui à propos de la lettre de Dreyfus à Deniel, 317-320. — Mis en cause par Mercier au sujet de la prétendue « nuit tragique », 325-327 ; demande à être confronté avec Mercier, 336 ; lui inflige un démenti formel, 372-374 ; Mercier tente de disqualifier son témoignage, 508. — Détruit la légende de la « nuit tragique » lors de la seconde enquête de la Cour de cassation (revision du procès de Rennes), VI, 319-322, 456. — Sa déclaration contestée à nouveau par Mercier, appendice, 528-530. — Sa lettre à Joseph Reinach au sujet du bordereau annoté, appendice, 511-512.

Cassagnac (Paul de), rédacteur en chef de l’« Autorité ». Constate l’insuffisance des charges relevées contre Dreyfus ; réclame la publicité des débats, I, 332-334 ; « le huis-clos du Champ-de-Mars », 370-371. — Ses doutes sur la culpabilité de Dreyfus, II, 332, I, 379. — « Si Dreyfus n’est pas coupable, c’est le Gouvernement », 380. — Ses impressions sur la dégradation, 511-512. — Son article du 19 novembre 1896 sur la communication secrète, II, 447. — Ses attaques contre Billot, 485. — Son article sur l’incapacité des généraux (18 mars 1897), 489. — Se déclare partisan de la revision, 639, III, 125, IV, 223, note 2. — Ses attaques contre Scheurer-Kestner et le Syndicat, III, 17 ; contre Zola, 70, note 1. — Qualifie de « procès de complaisance » le jugement d’Esterhazy par un Conseil de guerre, 192, note 1. — Demande la publicité du procès, 195, note 5. — Son opinion sur le