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TABLE DES MATIÈRES.

Porc (un), comparé à l’homme qui s’afflige ou se fâche, X, 28.
Portique (le sage tel que le) essayait de le concevoir, peut se tromper, mais il ne se déshonore jamais, III, 1, N.
Portrait moral d’Antonin le Pieux, II, 16, et VI, 30 ; — (second) d’Antonin le Pieux, tracé par son fils adoptif, complète l’éloge du premier, VI, 30, N.
Poste qu’on nous a fixé ; on y doit rester, malgré le danger, VII, 45.
Pouvoir qui nous a été accordé par la nature, et dont nous devons nous souvenir, VIII, 29 ; — que l’âme possède en elle-même, XI, 160 : — (le grand) de l’homme, XII, 11.
Pratique des principes ; comment on doit s’y conformer, XII, 9.
Préambule inutile dans un discours, XI, 15.
Précaution à prendre pour que l’âme mène une vie heureuse, XI, 16.
Précepte propre à nous faire envisager la mort avec un calme profond, IX 3 ; — que Marc-Aurèle a vingt fois donné et qu’il a pratiqué lui-même durant toute sa vie, IX, 3, N. ; — commun à toutes les sectes de philosophes, IX, 41 ; — (l’antique) de l’oracle de Delphes, que Socrate s’était approprié, X, 21, N.
Préceptes dont l’observation suffit pour assurer à notre existence un cours paisible ; ils sont peu nombreux, II, 5 ; — (petit nombre de) dont on a besoin ; un des préceptes les plus clairs et les plus utiles, II, 5, N. ; (un des) les plus essentiels et les plus pratiques du Christianisme ; la foi stoïcienne fait les mêmes recommandations, III, 8, N. ; — nécessaires pour connaître les choses divines et les choses humaines, et dont nous devons être munis, III, 13 ; — (deux) excellents, d’une application très-difficile, surtout pour un homme revêtu de la toute-puissance, IV, 12, N. ; — (les) de Marc-Aurèle ne s’adressent qu’au sage, ou du moins qu’à celui qui veut le devenir, V, 18, N. ; — (un des) principaux de la sagesse pratique, XII, 1, N.
Préface à la traduction de la Logique d’Aristote, citée sur l’enseignement de la logique, V, 14, N.
Préjugé est un mal, V, 36.
Prérogative que Dieu, dans sa bonté, a accordée à l’homme sur les autres parties de l’univers, VIII, 34.
Prescriptions que la raison nous impose, III, 9 ; — (une des) les plus essentielles du Stoïcisme, est de conserver à tout prix la paix de l’âme, VII, 75, N.
Présent (le) seul est à nous, et il se perd à tout instant, II, 14 ; — (le) est le seul temps qu’on vit, III 10 ; — seul nous appartient, VI, 32, N. ; — qui le voit a tout vu, VI, 37 ; — (le) nous offre toujours une matière à pratiquer la vertu, VII, 68 ; — (le) seul est toujours un fardeau pour nous, VIII, 36 : — (s’occuper du seul), XII, 4 ; — (le) seul est ce que l’homme peut perdre, XII, 26.
Préservatif efficace, qui garantira l’esprit de toute opinion contraire à la nature, III, 9.
Prétention mauvaise que l’homme doit éviter, VIII, 19.