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Page:Pensées de Marc-Aurèle, trad. Barthélemy-Saint-Hilaire.djvu/533

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TABLE DES MATIÈRES.

Preuve que les réflexions que Marc-Aurèle s’adresse à lui-même ont été écrites dans les derniers temps de sa vie, II, 7, N.
Prière simple et noble des Athéniens, V, 7 ; — seul passage d’un auteur de l’antiquité où il soit parlé de cette prière ; ce qu’elle a de remarquable, V, 7, N. ; — recommandée par Marc-Aurèle ; c’est comme une réminiscence du Sermon sur la montagne, IX, 10, N.
Prières, telles qu’elles doivent être adressées aux Dieux, IX, 40.
Principe qui commande en nous et auquel il faut appliquer tous nos soins, II, 2 ; — (le) directeur de tout le reste, distinction toute spiritualiste des deux principes dont notre nature est composée, II, 2, N. ; — (le) directeur, la raison, l’intelligence, III, 4, N. ; — (le) qui met toutes choses en œuvre ; définition de cette pensée, V, 21, N. ; — (le) commun qui gouverne les êtres, et duquel tout est sorti, VI, 36 ; — (grand) de Marc-Aurèle ; les moins bonnes choses sont faites en vue des meilleures, cent fois proclamé par Aristote, VII, 55, N. ; — d’Épicure sur la douleur, VII, 61 ; — (le grand) des causes finales éclate dans l’homme lui-même bien plus encore que dans la nature, VIII, 19, N. ; — (le grand) qu’Aristote a énoncé et justifié de toutes les manières, VIII, 20, N. ; — (le) qui nous gouverne est absolument invincible ; c’est le fondement du Stoïcisme et comme la pierre angulaire de toute la doctrine, VIII, 18, N. ; — (le) qui met tes fibres en mouvement ; définition de cette expression, X, 38, N.
Principes (deux) qui sont communs, et à l’âme de la divinité, et à celle de l’homme, V, 34 ; — (deux) purement animaux, VII, 55 ; — qui règlent nos désirs et nos actions, VIII, 1 ; — (immuables), d’où nos actes découlent, à enseigner à l’homme ; c’est ce que fait la religion à l’aide de la foi ; c’est aussi ce que fait la philosophie, à l’aide de la raison, VIII, 1, N. ; — (les) qui règlent la nature, les passions et le raisonnement, et qu’il faut appliquer à chaque idée qui vient nous frapper, VIII, 13 ; — (un des premiers) du Stoïcisme, si ce n’est peut-être le premier de tous, VIII, 29, N. ; — (deux) rentrant dans le sein de la puissance universelle, X, 7 ; — (les) qui concernent et la nature de l’univers, et la condition particulière de l’homme, indiquent le moyen de devenir homme de bien, XI, 5 ; — (deux) dans lesquels il faut rester ferme, XI, 9 ; — ce qu’on doit faire en les pratiquant, XII, 9 ; — (les trois) qu’il faut avoir sans cesse sous la main, XII, 24.
Privilège accordé aux hommes par Jupiter, XI, 8.
Prix à attacher aux choses que l’on possède, ou que l’ou ne possède pas, VII, 27.
Problème qui consiste a bien distinguer ce que l’ordre exige, II, 9, N. ; — de l’intervention des Dieux, dont la doctrine chrétienne s’est très-particulièrement occupée, IX, 40, N.
Productions (pour les) de la nature, il y a une sorte de grâce