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Page:Rachilde - Alfred Jarry ou le surmâle de lettres, 1928.djvu/189

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ALFRED JARRY


Mais si bien bouché, si bien enfermé qu’il pût être, l’éther s’évapora, le petit flacon est vide.

Ça endort, ça vous laisse tous les mouvements libres et, oui, ça sent bon (ceux qui aiment cette odeur sont rares !) ; pourtant, mon pauvre père Ubu, êtes-vous bien sûr que votre parfait poison ne fasse pas dérailler ?…