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VII
De notre terre de Provence :
La Montjoie
par le Valbousquet,
janvier 1913.
par le Valbousquet,
« Madame et toujours très chère épouse,
« Mon notaire m’a fait tenir vos explications si franches et si douloureuses touchant votre nouvel état. J’en suis à la fois ravi et bien peiné. Ravi, parce que j’ai enfin l’occasion de vous offrir la preuve de ma toujours fidèle affection, peiné parce que je devine combien vous avez dû souffrir. Je vous attendais, ma