Page:Rachilde - Le Meneur de louves, 1905.djvu/382

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vous. » Mais le peuple, s’embarrassant peu de ce qu’elle disait, se précipita, comme nous l’avons dit, sur ceux qui faisaient résistance, les entraîna garrottés hors du monastère, et, après qu’on les eut attachés à des poteaux, frappés cruellement, coupé aux uns les cheveux, aux autres les mains, à d’autres le nez et les oreilles, la sédition étouffée s’apaisa. (Grégoire de Tours, Hist. eccl. des Francs, X, xv.)