Page:Raynaud - Poésies, 1900.djvu/237

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Ici, la foule imbécile
Se vautre, ignorant le prix
De ta rayonnante argile,
Et des odes que j’écris.
 
Or, plein d’espoir aux années
Qui vont suivre, j’ai voulu
À ces vers qui seront lus,
Confier nos destinées.