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Page:Rebière - Mathématiques et mathématiciens.djvu/451

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MATHÉMATIQUES ET MATHÉMATICIENS

100 guerriers s’y jetant signalent leur audace.
Bientôt victorieux de 100 peuples altiers.
De morts et de mourants 100 montagnes plaintives.
En 100 lieux contre lui les cabales s’amassent.
Balzac en fait l’éloge en 100 endroits divers.
De 100 coups de marteau me va fendre la tête.
Entre 100 vieux appuis dont l’affreuse grand’salle
Soutient l’énorme poids de sa voûte infernale.
Et ses ruses perçant et digues et remparts,
Par 100 brèches déjà rentrent de toutes parts.
Thémis a vu 100 fois chanceler sa balance.
Et leur art, attirant le culte des mortels,
À sa gloire en 100 lieux vit dresser des autels.
Comme on voit qu’en un bois que 100 routes séparent.
D’Hoxier lui trouvera 100 aïeux dans l’histoire.
Aussitôt 100 chevaux, dans la foule appelés.
100 francs au denier 5 combien font-ils ? — 20 livres.
Non ; mais 100 fois la bête a vu l’homme hypocondre.
Dont les noms en 100 lieux, placés comme en leurs niches.
Qui, sans sujet, courant chez 100 peuples divers.
En transposant 100 fois et le nom et le verbe.
Et j’en ai refusé 100 pistoles, crois-moi.

(Molière)

N’as-tu pas dû 100 fois te le faire redire ?

(J. Racine.)

Aux filles de 100 rois je vous ai préférée.

(Molière.)

On me menace
Si je ne sors d’ici, de me bailler 100 coups.

(Molière.)

Là, 100 figures d’air en leurs moules gardées.

(La Fontaine.)

Le peuple rentre et sort en 100 parts divisé.

(La Fontaine.)

Un mourant qui comptait plus de 100 ans de vie.

(La Fontaine.)