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Page:Sand - Francia.djvu/188

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teurs placés au rez-de-chaussée avaient dû s’écouler plus vite que ceux du premier rang. Une seule chose le tourmentait, l’inquiétude et la jalousie de sa petite amie. Il ne doutait point que, pour parfaire sa vengeance, Ogokskoï ne lui eût dit en la quittant : — Mon neveu reconduit une belle dame, ne l’attendez pas.

Mais Diomiditch comptait sur l’éloquence de Valentin pour la rassurer et lui faire prendre patience. D’ailleurs elle était en fiacre, la voiture louée par Ogokskoï allait très-vite. Il ne pouvait manquer d’arriver en même temps que Francia au pavillon.

Quand il eut fait ces réflexions, il en fit d’autres relativement à la belle marquise. Il avait des torts envers elle, elle était furieuse contre lui : devait-il accepter platement sa défaite et l’humiliation que son oncle lui avait ménagée ? Nul doute qu’Ogokskoï n’eût dit à la marquise en quelle société il avait surpris son beau neveu, et qu’il n’eût compté les brouiller à jamais ensemble pour se venger de ne pouvoir rien espérer d’elle. Mourza-