Page:Sand - Francia.djvu/246

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ANNA.

Oh ! mon Dieu, rien ne nous empêche de parler de lui.

LOUISE.

Nous n’avons rien à en dire, ne le connaissant ni l’une ni l’autre.

ANNA.

D’autant plus que, si nous le connaissions, nous en dirions du mal.

LOUISE.

Réjouissons-nous donc de ne pas aimer les épinards, car si nous les aimions…

ANNA, allant à une fenêtre et regardant.

Oh ! que tu as de vieilles facéties ! — Tiens, il est affreux !

LOUISE.

Qui ?

ANNA.

Lui, M. de Valroger, ce beau séducteur ; il est très-laid.