Page:Visan - Paysages introspectifs, 1904.djvu/146

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L’un sur l’autre penchés, ils feuillettent le livre
De leur ascension, et s’apprennent à vivre
L’éternel dévoûment,
Comme on monte en traçant le chemin, et comment
On descend le coteau de givre.


Et tandis qu’on perçoit au sommet, les cohortes
Des touristes vaincus tombés devant les portes
Des climats insoumis,
Les chênes ont tendu sur les lys endormis
Leur frondaison de feuilles mortes.