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Page:Yver - La Bergerie.djvu/139

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laise. Après le dîner, il se trouva seul près de Beaudry-Rogeas. Il lui parla de sa tante et du désir qu’avait la vieille dame de le voir passer quelques jours au château pour un mariage. D’humeur charmante ce soir-là, le maître répondit paternellement qu’il serait heureux de lui accorder le plus long congé nécessaire, et que dès demain il serait libre.