Aller au contenu

Page:Yver - La Chaleur du nid.djvu/92

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

phonsine elle me maîtrisa, bien que je me débattisse, et que je fusse assez vigoureux pour mon âge. Rose lançait vers moi ce sombre regard changeant qui lui donnait une gravité tragique chez un enfant. Les deux femmes m’entraînèrent à grand’peine. Du fond de l’ascenseur, hors de moi-même, je criais : « Je ne veux pas quitter mon père ! Je ne veux pas quitter mon père ! »

La concierge ouvrit la porte de la loge comme nous passions.