Page:Yver - Les Cousins riches.djvu/335

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VI

Le ciel était pur, mais l’orage éclata pourtant. Les Martin d’Oyse père et fils étaient un jour au perron de la maison blanche, devant le cèdre, quand deux mécaniciens au visage noirci et sentant le fer s’avancèrent, d’un pas rythmé, venant de l’usine. On montait en ce moment une seconde machine à vapeur de quatre cents chevaux. Il l’avait fallu pour engendrer le mouvement des nouvelles cardes et des nouveaux métiers. Les Alibert travaillaient avec les ouvriers du constructeur.

— Quelle besogne ! dit M. Martin d’Oyse en les voyant. Quelle fatigue !