Page:Zanta - La Renaissance du stoicisme au 16e siecle.djvu/374

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
362
table des matières

Esprit de libre examen. — Examen des dogmes fondamentaux. — Luther et le libre arbitre. — Zwingle et le libre arbitre. — La Providence et le panthéisme stoïcien. — Dieu auteur du péché. — Formalisme des réformés comparé au formalisme stoïcien. — Foi et τόνος. — Grâce et raison divine agissant nécessairement en l’homme. — Paradoxes stoïciens trouvant logiquement place dans la doctrine des Réformés. — Prédestination et nécessité stoïcienne. — L’humanisme des Réformés. — Calvin et le Commentaire du De Clementia. — Anti-stoïcisme de Calvin. — Contre la nécessité stoïcienne. — Contre l’égalité des fautes. — Contre le panthéisme stoïcien. — Contre Dieu auteur du péché. — Contre l’apathie stoïcienne. — Morale indépendante. — Séparation de l’homme extérieur et de l’homme intérieur. — La loi et l’Évangile. — La loi et les principes de la morale valables pour l’homme extérieur. — Morale et métaphysique nettement séparées.
Morale indépendante des dogmes métaphysiques et des dogmes religieux. Rationalisme pratique. Rationalisme pédagogique : Sadolet ; en histoire : Amyot et ses traductions ; en morale pratique : Budé, Clichtove, Érasme. Le « Sequere naturam » devient le principe de toute morale. — Nombreux opuscules de morale. — Séparation de plus en plus nette du dogme et de la morale. Montaigne. Érasme. Morale naturelle. Sagesse laïque.

DEUXIÈME PARTIE

LE NÉO-STOÏCISME ET SES SOURCES
Minucius Félix et la Providence. — Lactance et la finalité. — Saint Augustin et la Providence. — Résignation chrétienne et apathie stoïcienne. — L’amour de Dieu. Le mal et la