...Choisissons, entre toutes, celle de l'église Villers-Saint-Paul (fig. 55).
Ici ce ne sont plus les proportions élancées admises dans les exemples
précédents. Les ébrasements sont profonds, supportent des archivoltes
épaisses, décorées de bâtons rompus, de méandres. Un pignon trapu couvre
le portail. La sculpture d'ornement est d'un assez beau caractère, quoique
sauvage. La sculpture de figures est d'une grossièreté toute
primitive
et rappelle les monnaies gauloises. Ces figures ne sont guère indiquées
d'ailleurs que dans un petit bas-relief carré posé sous la pointe du
pignon, et qui représente Samson terrassant le lion. On remarquera l'appareil
singulier du linteau, qui s'explique par la difficulté de monter sur
les pieds-droits un très-gros bloc de pierre, toute la construction étant
élevée en matériaux de petit échantillon. En A, nous donnons l'un des
pieds-droits en plan, et en B, la section sur l'archivolte...
Cette œuvre est également dans le domaine public dans tous les pays pour lesquels le droit d’auteur a une durée de vie de 100 ans ou moins après la mort de l’auteur.
Cette œuvre est dans le domaine public aux États-Unis car elle a été publiée avant le 1er janvier 1929.
...Choisissons, entre toutes, celle de l'église Villers-Saint-Paul (fig. 55). Ici ce ne sont plus les proportions élancées admises dans les exemples précédents. Les ébrasements sont profonds, supportent des archivoltes épaisses, décorées de <i>b�