Les Filles de Camaret
les filles de camaret
Les filles de Camaret se disent
toutes vierges (bis)
Mais quand elles sont dans mon lit
Elles préfèrent tenir mon vit
Qu’un cierge. (ter)
Ô fille de Camaret, où est ton pucelage ? (bis)
Il s’en est allé sur l’eau
Sur la queue d’un matelot
Il nage. (ter)
Mon mari s’en est allé à la
pêche en Espagne (bis)
Il m’a laissée sans un sou
Mais avec mon petit trou
J’en gagne. (ter)
Les rideaux de notre lit sont
faits de serge rouge (bis)
Et quand nous entrons dedans
La rage du cul nous prend
Tout bouge. (ter)
Mon mari que fais-tu là ? Tu me
perces la cuisse ! (bis)
Faut-il donc que tu sois saoûl
Pour ne pas trouver le trou
Qui pisse. (ter)
Le curé de Camaret a les
couilles qui pendent (bis)
Et quand il s’asseoit dessus
Elles lui rentrent dans le cul
Il bande. (ter)
Le maire de Camaret a acheté
un âne (bis)
Un âne républicain
Pour enculer les putains
D’Bretagne. (ter)
Si les filles de Camaret s’en
vont à la prière (bis)
C’est pas pour prier l’Seigneur
Mais pour branler le prieur
Qui bande. (ter)
Célinat si tu m’aimais, tu me ferais des nouilles (bis)
Et pendant que j’les mangerais
Tes p’tits doigts me chatouill’raient
Les couilles. (ter)
La servante à m’sieur l’curé a
le ventre qui gargouille (bis)
C’est qu’elle en a trop mangé
De l’andouille à m’sieur l’curé
D’l’andouille. (ter)
Une simple supositionque tu serais ma tante (bis)
Et je te ferais présent
De l’andouille qui pend
Au ventre. (ter)