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Page:Abbé du Prat - Vénus dans le cloître ou la Religieuse en chemise, 1920.djvu/147

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agréable. J’y passerais des nuits entières sans m’ennuyer. Je m’imagine que tu dois être aussi satisfaite du mien que je le suis du tien. Ce n’est qu’avec peine et chagrin que je me sépare de toi.

Agnès. — Ah ! que tu es forte ! Je crois que tu ne finiras jamais. Adieu.