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Page:Barbier - Les Contes d'Hoffmann, 1881.djvu/62

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tranquillement son épée et la remet au fourreau, puis il remonte vers la galerie. Giulietta parait dans une gondole ; au même moment rentre Hoffmann.

HOFFMANN.

Personne !

GIULIETTA, riant.

Ah ! ah ! ah !

HOFFMANN.

Giulietta.

DAPERTUTTO.

Qu’en fais-tu, maintenant ?

GIULIETTA.

Je te l’abandonne.

PITICHINACCIO, entre dans la gondole.

Cher ange !

Giulietta le prend dans ses bras.

HOFFMANN.

Misérable !

NICKLAUSSE.

Hoffmann ! Hoffmann ! les sbires !

Nicklausse entraîne Hoffmann.

Giulietta et Dupertutto rient.