Aller au contenu

Page:Brossard - Correcteur typographe, 1934.djvu/915

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


xxxx Les intégrales sont simples ou doubles.

La définition d’une intégrale double

,


lorsque les variables dont elle dépend doivent prendre une valeur imaginaire, est sujette à des difficultés…

39. Nombre d’autres signes sont utilisés dans les calculs algébriques dont les formules sont parfois fort compliquées.

40. Une quantité composée de 1 terme est appelée monôme ; de 2 termes, binôme ; de 3 termes, trinôme ; etc.
xxxx Une quantité comprenant plusieurs termes dont on ne définit pas le nombre est dite polynôme.

41. Pour indiquer la multiplication entre deux quantités polynômes, on est dans l’usage de renfermer chacune de ces deux quantités entre deux signes de parenthèse et d’interposer entre elles l’un des signes de multiplication indiqués aux paragraphes 12 et 13 :

,


ou

,


ou encore, plus simplement,

.

Dans ce dernier cas, une espace de 1 point à 1 point 1/2 sépare chaque quantité polynôme comprise entre les parenthèses.
xxxx Quelques auteurs, au lieu d’écrire chaque quantité entre parenthèses, couvrent chacune de ces quantités d’une barre ou d’un filet. Dans ce cas, obligatoirement un signe de multiplication doit être employé entre chaque polynôme :

.

Le filet doit couvrir entièrement l’ensemble du polynôme auquel il appartient, sans déborder au-delà de la première ni de la dernière lettre.

42. Le plus petit terme d’une fraction, soit dividende, soit diviseur,