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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/225

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Clément.

Ah ! Monsieur Honorin, nous sommes perdus !

Honorin.

Attendez, attendez. Le contrat ne se peut pas faire sans moi, primo & d’un.

Clément.

Non, vraiment.

Honorin.

Madame Martin, il faudra que vous me secondiez.

Mde Martin.

Je ne demande pas mieux, vous savez bien que je suis pour Clément.

Clément.

Je vous en serons bien obligés.

Mde Martin.

Et que je ne peux pas souffrir ces deux nigauds de Silvains le père & le fils ; car qui voit l’un, voit l’autre.

Clément.

Oh, c’est tout de même.