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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/237

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Claude Silvain.

Est-ce là le vin que nous boirons ce soir ?

M. Martin.

Oui, je n’en ai pas d’autre.

Claude Silvain.

Tant mieux ; car il est bon.

Pierre Silvain.

Allons, allons, marche.

Claude Silvain.

Beau-Père, dites-donc notre mariage à Monsieur Honorin, puisqu’il ne le sait pas. Ah, ah, ah. Il rit.

Pierre Silvain.

Allons, allons, marche, grand fou. À ce soir, Messieurs.