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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/316

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ractère du monde, & elle joue très-bien du clavecin.

M. Bourval.

Cela est fort bien.

M. Rondeau.

Voulez-vous que je la fasse descendre ?

M. Bourval.

Non, non, ne la dérangez pas, & puis je n’ai pas beaucoup de tems.

M. Rondeau.

Vous savez comme je veux que soit fait mon Gendre ?

M. Bourval.

Je crois que vous en serez content.

M. Rondeau.

Allons ; cela est bon. Qu’est-ce que vous lui donnez ?

M. Bourval.

Sa Charge de Maître des Comptes, qui est payée.

M. Rondeau.

J’entends bien ; mais ne lui donnez-vous que cela ?